Même si je comprends que cette dame ait décidé de céder (c'est un peu le pot de terre contre le pot de fer), j'aurais bien voulu qu'elle persiste, quitte à aller en justice.
Cette histoire de protection de la marque et de contrefaçon est infondée et fantaisiste. Non seulement cette dame a le droit d'utiliser son nom tel quel, mais de plus ce journal serait bien incapable de convaincre un tribunal qu'il pourrait y avoir le moindre préjudice à son encontre.
Bref, cette dame est sans aucun doute dans son bon droit. La soutien massif des internautes envers cette dame me fait plaisir, même si ce journal a obtenu ce qu'il voulait, au point malheureusement de contribuer à ternir lui-même sa propre image de marque, du coup.