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 J'ai escaladé la cathédrale de Strasbourg la nuit.

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roger
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MessageSujet: J'ai escaladé la cathédrale de Strasbourg la nuit.   J'ai escaladé la cathédrale de Strasbourg la nuit. Clock210Mer 25 Fév 2009 - 15:38

Mon livre va bientôt être sur le marché;
L'éditeur a rédigé la préface que voici.
Dès son retour d'Afrique où il va en vacances, je pense que je serai appelé à le dédicater à la librairie Kleber à Strasbourg.
Il sera aussi en vente sur le net et dans les librairies;
Voici en avant première la page de couverture et la préface.


Vous avez dit « initiatiques » ?
Thierry Goguel d’Allondans*


Bonjour Roger,
Bonjour Jean,

Avant mon départ pour le Congo Brazzaville, voici ma préface pour ton texte Roger.
Je rentre le 11 mars.

Amicalement,

Thierry

Thierry Goguel d'Allondans
150A, Route de Schirmeck 67200 Strasbourg - France
Tél.: 03.90.22.59.02. Courriel: [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] Site: [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
CULTURES & SOCIÉTÉS Sciences de l'Homme
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]




Une nouvelle collection voit le jour, « Initiatiques », pour accueillir, nous l’espérons, de fort belles histoires en bien belles proses. C’est toujours un peu émouvant ; certains se risquent même à entrapercevoir dans l’aboutissement d’une œuvre littéraire, une sorte de gestation suivie, en point d’orgue, d’un accouchement plus ou moins aux forceps. Ici ou là, des éditeurs sont, bel et bien, maïeuticiens, accoucheurs, découvreurs, même si, hélas, d’autres malmènent, et souvent moins symboliquement, leurs parturient(e)s, leurs auteur(e)s. Mais, en poursuivant cette métaphore – et en filant l’hypothèse qu’il est plus facile de faire un enfant que de le mettre au monde – s’il est aisé de faire un livre, d’imprimer du joli papier, il devient bien ardu d’être écrivain – « c’est en écrivant qu’on devient écrevisse » raillait Hans Arp – de faire trace, de laisser une empreinte… Le prétexte de ces ouvrages pourrait pourtant y prétendre. En effet, ce ne sont pas vraiment des événements – dans un monde qui se gargarise d’événementiels –, mais plutôt des « événements d’être » qui seront narrés ici, de ceux qui, ouvrant une voie, la frayant, sont, au-delà de l’éphémère, chemins d’initiation.
Sans doute, à force d’être employée, dans le langage courant, à tort et à travers, l’initiation a-t-elle perdu à la fois de son sens, de sa force, de son heuristique. On peut désormais s’initier aux arcanes de la politique au même titre qu’aux arts martiaux et autres sports de combat (même L’anthropologie n’est pas un sport dangereux, nous rappelle Nigel Barley, en 1988), à la pâtisserie et la confiserie comme à la conduite fluviale en péniche ou en voilier ! Or l’initiation n’est pas réductible à une simple découverte, à un début émérite, à une bonne introduction à un art complexe, à un banal apprivoisement de techniques nouvelles ou même à une prise d’initiatives. L’initiation, d’abord parce qu’elle opère un pivotement, hors de l’ordinaire, du profane au sacré et inversement, obéit à trois niveaux d’acception : l’accès, le procès et le décès (ou, en fonction des cérémonies et de leurs séquences, décès, procès, accès). De fait, en reprenant la classification, en triptyque, de l’ethnologue Arnold van Gennep (1909), le novice est d’abord – et ce n’est ni simple, ni automatique – admis, parfois au prix d’épreuves redoutables, aux mystères (rites préliminaires), l’impétrant démarre ensuite un cycle initiatique – plus ou moins long suivant les peuples – qui va progressivement, « processuellement », l’inscrire dans une tradition culturelle (rites liminaires) et s’achèvera par une mutation ontologique, un changement radical reconnu socialement, généralement de statut au sein de son groupe, de sa tribu, de son clan (rites postliminaires). L’initiation aborde la question de la (re)connaissance via la transmission ; elle nécessite pour cela une rencontre. La connaissance ne s’engrange pas comme le blé dans les greniers, elle fait corps, elle devient corps… Ainsi les savoirs ne s’acquièrent nullement par les seuls dispositifs aussi ingénieux soient-ils (cf. l’ingénierie de formation), ni par des programmes les plus scientifiquement élaborés (cf. les « mastérisations » des formations supérieures)… Ils s’assimilent quand on peut les palper, ils s’incorporent lorsqu’on peut enfin se les imaginer, les percevoir, les sentir, les entendre, les toucher, les goûter… Quelques personnes surdouées, parfois autistes, nous renseignent sur cela, tel un imaginaire personnel des chiffres qui permettra, par des indices de couleur par exemple, de retenir un nombre invraisemblablement long. Au-delà de la connaissance, l’initiation s’achève, elle, lorsque l’initié est devenu autre : il est symboliquement mort – le symbolique est ici sens, reconnaissance et partage – car il a renoncé à son monde antérieur (perte) pour renaître, tout aussi symboliquement, à un nouveau monde, à un monde et à de nouvelles responsabilités (gain) qu’il lui faudra découvrir, puis assumer (risque). Il y a, dans sa démarche, une dimension éthique décelable dans ces imbrications de pertes, gains et risques.
À cette occasion, il a rencontré des êtres incarnés qui, sans doute, l’ont initié mais ne sont pas, à proprement parler, des initiateurs. Ils sont plutôt, pour reprendre la belle expression de Mircea Eliade (1959), des « gardiens du seuil ». Ils autorisent, garantissent et servent. Leur seul objectif, leur mission principale : devenir des serviteurs inutiles. De fait, ils sont pris, eux-mêmes, dans quelque chose qui les dépasse. Ils ne sont pas des pièces maîtresses mais des rouages indispensables. Dès lors, ils ne se présentent pas comme des gourous, car ils sont, plus simplement mais de manière incontournable, des artisans de l’enchevêtrement du Monde ; ils participent à une cosmogonie en actes. Car se représenter le Monde permet d’y trouver place. Don Juan Mathus, un des derniers sorciers yaquis, pour exemple, n’enseigne pas, au sens littéral, les arts chamaniques toltèques à Carlos Castaneda, jeune anthropologue, élève d’Harold Garfinkel, il le laisse errer, emprunter des chemins de traverse et, parfois, lui indique, non sans justesse, une autre focale, ce léger déplacement (du « point d’assemblage ») qui permet d’avoir un autre point de vue (Castaneda, 1971). Carlos n’est pas l’étudiant de don Juan, il est son apprenti. En ce sens, l’initiation est, elle, a contrario de la connaissance, impalpable. L’initiation peut amener à la connaissance, mais la connaissance ne fait pas l’initié ; si l’initiation s’éprouve dans le corps, elle promeut un nouvel état de conscience, ...
Parmi les nombreux passages qu’affronte l’individu – fût-ce dans une ritualisation collective qui engage d’abord sa communauté – le passage à l’âge d’Homme (Cassagnaud, 2009) est, sans aucun doute, le premier à s’être effacé devant les rejetons de la modernité avancée (cf. l’apparition voire l’invasion des adolescents tout au long du 20ème siècle), même si d’autres rites, tels ceux d’enfantement, d’alliance et de funérailles, connaissent eux aussi des effritements notables mais non encore irréversibles. Comment souhaiter, appréhender puis vivre, aujourd’hui, le temps et l’espace de l’adulte, l’adultité ? Comment, parfois, se remettre au monde quand on y a été mal mis, mal mené ? Comment trouver place, puis comment faire lien ? Dans une société traditionnelle, la marge de manœuvre du sujet est extrêmement restreinte. Les castes, les classes, les alliances, la vie quotidienne, les organisations sociales, entre autres éléments de culture, sont souvent prédéfinies et s’articulent autour des mythes, des rites qui peuvent se lire comme autant de représentations voire de conceptions du Monde. Les discours et progrès des sciences ont ouvert au sujet moderne le champ des possibles, il a gagné en libertés, il les paye de son isolement. Le sens commun, les solidarités s’épuisent ; le collectif se fissure, craque et finalement cède devant de petites individualités éparses…
Sommé quasi de s’auto concevoir, s’auto engendrer, s’auto définir, s’auto promouvoir, le sujet – on osera le qualificatif dévolu – postmoderne manque singulièrement de boussole (Lyotard, 1979). Par ailleurs, nous ne naissons libres et égaux qu’en droit. Dès les premiers vagissements, les écarts se creusent. Les environnements familiaux, sociaux et culturels vont être déterminants : on ne naît pas à ce que l’on sera sur cette terre, on le devient, au gré des contextes, des circonstances et des rencontres. Cela permet des bouleversements, y compris – même si plus rarement – des ordres établis. Pu Yi, dernier empereur de Chine, élevé à cette dignité dès l’âge de 3 ans, sera rapidement mis en résidence surveillée, puis interné par le régime maoïste, avant de finir ses jours comme jardinier de la ville de Pékin (cf. le long métrage de Bernardo Bertolucci, Le dernier empereur, 1987). Mais parfois, comme dans le film Slumdog Millionnaire (Danny Boyle, 2009), on peut sortir d’un bidonville et devenir un nanti. Les chemins n’étant plus tracés, certains restent rivés au sol, tournent en rond, errent désespérément de place en place, d’autres se lancent, se perdent, se retrouvent ou (se) découvrent.
Cette collection donne la parole, par la plume, à des hommes et des femmes qui, à un moment du chemin, ont senti l’impérieuse nécessité d’en changer, avec parfois le sentiment de faire fausse route, d’oser donc la traverse, le non frayé, l’inconnu,… On peut parler ici d’aventure, même si nos auteurs sont plus aventureux qu’aventuriers. Le risque n’est pas si grand si c’est celui de vivre, parfois de vivre enfin, de renaître. Les ouvrages que nous vous proposerons, chaque année, avec, à chaque livraison, deux récits, ne sont surtout pas des livres de recettes. Leurs auteurs nous rappellent l’unicité de nos vies. L’un voyagera à l’autre bout du monde, quelque milliardaire vers d’autres mondes, mais lui se contentera du coin de la rue, elle du divan de son psychanalyste… Et vous ?
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roger
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MessageSujet: Re: J'ai escaladé la cathédrale de Strasbourg la nuit.   J'ai escaladé la cathédrale de Strasbourg la nuit. Clock210Mer 25 Fév 2009 - 15:39

Roger, toujours plus haut, toujours plus loin

Alors que j’engageais un travail d’écriture avec Erwan Rouzel pour lancer la collection « Initiatiques », un jeune collègue, psychologue et néanmoins ami (sourire), Sébastien Dupont, m’informa qu’il avait vu, sur l’effrayante et fascinante « toile d’araignée mondiale » (le World Wide Web), quelque chose d’étonnant et qui devrait, à coup sûr, m’intéresser. Assez rapidement, il m’envoya un texte écrit par un certain Roger Pfaffenhof évoquant, succinctement mais non sans lyrisme, son escalade de la cathédrale Notre Dame de Strasbourg, quasiment « ma » cathédrale puisque je suis né à ses pieds et vis, depuis, à ses côtés, non mais ! Il s’agissait assurément de ce que les fins gastronomes nomment une bonne mise en bouche ! À la manière aussi des excellents feuilletons de naguère (à suivre), j’avais envie d’en savoir plus, de connaître la suite. Je me risquais donc à aller à la pêche, ou plutôt à resserrer les filets autour de mon araignée ! D’ailleurs Roger Pfaffenhof n’était-il pas, pour escalader de nuit 142 mètres de grès des Vosges, Spiderman ?
Les jeunes d’aujourd’hui entrent facilement en relation, par Internet, avec des inconnus. Il me reste quelques vestiges d’une prudente politesse que les moins de vingt ans ne peuvent pas connaître. Mon courage à deux mains, j’adressais donc ma requête à la « cour du curé », littéralement au Pfaffenhof, qui me répondit fort civilement, fort simplement, fort rapidement et par l’affirmative. Oui il pouvait m’adresser un texte plus complet, oui il pouvait le rallonger si besoin, oui je pouvais en disposer à ma guise, oui il pourrait me fournir des photos, oui je pouvais le rencontrer. Je m’aperçu, par la suite, que Roger avait plusieurs blogs (petits sites sur le Web, entre journal intime et forum) et conversait avec de nombreuses personnes, amis ou non, renseignant les uns, aidant les autres. Ses connaissances informatiques, sa socialité bon enfant me laissaient imaginer un adolescent sans doute un peu plus extraverti qu’Erwan. Je me trompais. Quelque chose aurait pu pourtant me mettre la puce à l’oreille, le « blogueur » Roger faisait preuve d’un incroyable sens du partage : depuis des choses très simples (photos ou carnets de voyages) jusqu’à des avis plus autorisés (conseils judicieux dans des situations complexes). Sauf à découvrir un gamin boutonneux prématurément vieilli par un QI supérieur à la moyenne, j’avais affaire à quelqu’un qui savait beaucoup de choses. De fait, mais je ne le savais pas encore, j’allais rencontrer quelqu’un d’une grande maturité, de celle dont on se plait à rêver qu’elle devrait être la caractéristique de l’adulte, de tout adulte, ou du moins d’un adulte qui puisse donner un peu l’envie, à nos enfants, d’en devenir un.
En rencontrant Roger, séduisant quinquagénaire – un petit côté baroudeur à la Jean-Paul Belmondo – j’allais m’apercevoir que ses connaissances étaient alimentées par une insatiable curiosité et une incroyable ouverture à l’autre. Je compris plus tard que ses nombreux voyages l’avaient rendu attentif aux dimensions de l’étranger et de l’altérité. Nous avons, par exemple, en commun un goût et une grande connaissance du continent africain et de bon nombre de ses pays. Il est natif du Sénégal, y a vécu et compte s’y installer dans quelques années. Mais nous avons un autre point commun : Roger a toujours le sourire. « Dans mes démarches quotidiennes – écrit-il sur un de ses blogs – qu'elles soient commerciales ou familiales, j'ai toujours envie de m'amuser. Je joue avec tout. J’ai toujours le sourire et je drague sans cesse. C'est un trait de caractère que je corrige difficilement. Pour moi, s'amuser de tout est une passion. Rigoler comme une baleine ne tue personne. Une femme te pardonnera toujours si tu brusques l'occasion, mais jamais si tu la manques ! Avoir le sourire ne coûte rien. Tu peux obtenir plein de choses en étant courtois, simple et de bonne humeur. Quand tu es plein de vie tu n'as pas de soucis existentiels. De cette situation naît l'espoir et la vie continue... ». Mais il n’y a rien d’adolescent chez Roger, il ne joue pas à être jeune, il aime la vie fut-ce de manière un peu canaille. Proche de la nature – il fabrique même des fustes – il se plait à préférer « rajouter de la vie aux année, que des années à la vie ». Il aurait pu, dans d’autres circonstances, assurément être anthropologue.
Je ne vous ai rien dit de son exploit, de son récit initiatique si ce n’est qu’il escalade, nuitamment, la cathédrale de Strasbourg. Chaque chemin – ici une ascension – est unique nous l’avons dit, haut et fort. Nous le répéterons autant que nécessaire. Et ils seraient grandement stupides, celles ou ceux qui voudraient, demain, reproduire cette aventure-là. Elle ne vaut que pour lui et ceux qui l’accompagnaient, parce qu’elle survint à un moment décisif de sa vie, opportun pour eux, à une conjonction d’êtres. On ne peut s’empêcher, et la « cour du curé » y prête, à voir, dans ce récit initiatique, une dimension religieuse que n’aurait pas renié Roger Caillois (1970). Ce dernier rappelle que si la religion s’origine étymologiquement de relier (religare) ce n’est pas seulement le bas avec le haut (les mortels humains avec une transcendance divine) mais aussi les hommes entre eux (communion), le lien n’est pas que vertical, il est aussi horizontal. Roger est monté (clin d’œil) « au plus haut des cieux », pour le ciel de Strasbourg ! Fidèle en amitiés, il passe aujourd’hui son temps à cultiver les liens, sur cette terre, entre tous les hommes de bonne volonté qu’il croise sur sa route...


Notes bibliographiques
BARLEY Nigel, L’anthropologie n’est pas un sport dangereux, Paris, Payot & Rivages, [1988] 1997.
CAILLOIS Roger, « Le grand pontonnier », dans Cases d’un échiquier, Paris, Gallimard, 1970.
CASSAGNAUD Josy (dir.), Cultures & Sociétés « Le passage à l’âge d’Homme », Paris, Téraèdre, n°9, janvier 2009.
CASTANEDA Carlos, Voir. Les enseignements d’un sorcier yaqui, Paris, Gallimard, [1971] 1973.
ELIADE Mircea, Initiation, rites, sociétés secrètes. Naissances mystiques. Essai sur quelques types d’initiation, Paris, Gallimard, 1959.
GOGUEL D’ALLONDANS Thierry, Rites de passage, rites d’initiation. Lecture d’Arnold van Gennep, Québec, Presses de l’Université Laval « Lectures », [2002] 2004.
LYOTARD Jean-François, La condition postmoderne, Paris, Minuit « Critique », 1979.
VAN GENNEP Arnold, Les rites de passage, Paris, Picard, [1909)] 1981.

Bonjour Roger,
Bonjour Erwan

La construction d’un livre et d’une nouvelle collection prend du temps, mais enfin les choses se précisent et la sortie de vos textes est désormais annoncée. Voici le document publicitaire à destination des commerciaux des Presses Universitaires de France qui diffuseront votre livre.
Il reste encore à maquetter vos textes (début janvier) et à voir la question des photos illustratives. Dès que j’en sais plus je vous contacte.
Vos contrats vous parviendront bien sûr avant parution.

Amicalement,

Thierry

Thierry Goguel d'Allondans
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MessageSujet: Re: J'ai escaladé la cathédrale de Strasbourg la nuit.   J'ai escaladé la cathédrale de Strasbourg la nuit. Clock210Mer 25 Fév 2009 - 16:17

Et bien félicitations, Roger!!!! C'est toute une surprise que tu nous fais! Je te souhaite du succès avec ton bouquin!!!
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MessageSujet: Re: J'ai escaladé la cathédrale de Strasbourg la nuit.   J'ai escaladé la cathédrale de Strasbourg la nuit. Clock210Mer 25 Fév 2009 - 19:13

Et bien,

La qualité des personnes de ce forum n'est plus à prouver, mais on passe un cap.

Félicitations Roger
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roger
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MessageSujet: Re: J'ai escaladé la cathédrale de Strasbourg la nuit.   J'ai escaladé la cathédrale de Strasbourg la nuit. Clock210Mar 23 Juin 2009 - 16:57

l'idée a fait son petit bonhomme de chemin.
en 7 mois, le livre a été publié et voici ce que ça a donné.
Aujourd'hui, ( depuis 3 semaines ), vous le trouvez dans toutes les librairies.
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Buena Dias
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MessageSujet: Re: J'ai escaladé la cathédrale de Strasbourg la nuit.   J'ai escaladé la cathédrale de Strasbourg la nuit. Clock210Mar 23 Juin 2009 - 17:57

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cidalia
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MessageSujet: Re: J'ai escaladé la cathédrale de Strasbourg la nuit.   J'ai escaladé la cathédrale de Strasbourg la nuit. Clock210Mar 23 Juin 2009 - 19:25

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